Présentation d'Alexandre Artesi

• Prénom : Alexandre
• Nom : Artesi
• Pseudonyme : The Vaporous Cat
• Âge : 32 ans
• Sexe : Mâle
• Taille : 1m84
• Poids : 78 kg

• Ancien métier : Officiellement Informaticien/ Officieusement Voleur (majoritairement d’œuvres d’art)

• Aptitudes : De part ses deux activités, Alexandre Artesi est doué avec un ordinateur, mais l'est encore plus quand il s'agit de roublardise.

• Description physique : C’est un homme élancé et musclé (sans ressemblé pour autant à une nageuse olympique d’Allemagne de l’est). Il a des cheveux noirs toujours bien coiffés, bien que ça puisse paraître totalement dénué d’intérêts, il fait très attention à l’image qu’il peut renvoyer aux autres.

• Description psychologique : C’est un homme pragmatique, qui suite à un traumatisme durant ça petite enfance est outrageusement préoccuper par le regard que les autres porte sur lui, ce qui lui vaut une grande susceptibilité, qui pourrait être handicapante. Malgré cela, il a appris à se faire très discret quand il le faut.

• D’hier à aujourd’hui :
Cet homme est en apparence quelqu’un d’honnête et de bonne famille cache bien son jeu. En effet, avant la chute des missiles et par la même occasion de la civilisation, cet homme menait une double vie. De 10h à 19h du lundi au vendredi ce n’était qu’un informaticien comme les autres. Mais dans une toute autre tranche horaire, il s’équipait et devenait « The Vaporous Cat », un voleur de renom au surnom n’étant pas sans rappeler le chat de monsieur Carroll.
Ce pseudonyme, de prime abord un peu théâtral n’enlevé à rien à la crédibilité de ce voleur et à l’exaspération des forces de l’ordre, qui est renforcé par la présence d’une carte de visite à chaque passage. Il était recherché par interpole et le FBI. Pour ses menus larcin, parmi lesquels :

• Le Cri, de Munch
  
• Le Golden Jubilé
  
• Le Diamant Hope (pour un client de peu superstitieux)
  
• 172000 € sur le vol ATR-42 500 entre la Guadeloupe et les Antilles
  
• Et une dernière prise, la plus belle de sa carrière à ses yeux qu’il n’a jamais put livrée car le commanditaire n’a pas survécu aux explosions.

Ce "métier" n’est pas nouveau dans sa famille, il lui a été transmis par sont père, qui le tenait du sien, qui lui-même le tenait du sien, Arnaud Rémi Artésien qui inspira le plus célèbre personnage de Maurice LEBLANC.

Spoiler:

Il a passé une enfance quelque peu particulière. En effet, il est rare qu’un père réveille son fils de 12 le dimanche matin sur les coups de 5h pour lui faire escalader leur maison de campagne. Mais cette période Alexandre ne la regrette pas, car elle la sortie d’une période plus difficile de sa vie où il subissait les moqueries de ses camarade de classe. Car jusqu’à sa puberté, il faut dire qu’il n’avait pas un physique facile, c’est probablement ce qui le rend si soucieux de son image.
Il a suivi un cursus assez classique sachant que ce n’était pas le métier légal qu’il ferait plus tard qui allait lui rapporter le plus. Il entrepris des études en informatique à EPITECH.
Il devint un informaticien très qualifié et ouvrit sa PME « Artesi No Bug ».
Et il perpétua la tradition familiale, pour s’enrichir certes, mais aussi pour honorer son père et sa mère morts dans un accident de la route à l’aube du 3ème millénaire, au moins seront-ils morts sans voir l’apocalypse.
Le jour de la chute des missiles, il se trouvait dans le sous-sol de sa maison dans le 13ème arrondissement, là où il entrepose ses prises en attente d’un acheteur. C’était le lendemain de sa visite du musée du Louvre, la structure en acier d’un mètre d’épaisseur de son repère est probablement ce qui l’a sauvé. Il est resté là pendant plusieurs jours, il ne saurait dire combien. Mais deux choses l’ont poussé à sortir, le système de traitement de l’air qui devenait défaillant et le bruit d’un moteur vrombissant lui signalant que la ville n’était pas déserte.
Il donc pris son sac, un grappin, quelque vivre, et l’objet de son dernier vol qu’il ne pouvait se résoudre à laisser derrière lui. Il verrouilla soigneusement la porte blindée de ce qui fût ça demeure post-explosion et parti découvrir ce qu’était devenu Paris.
Il se doutait bien que ses talents été les seules choses sur laquelle il pouvait conter pour survivre.

• Relique : Sa dernière rapine.

Spoiler:

• Position dans les groupes Parisiens : Il n’a pas encore pris connaissance de leur existence.

• Avenir pour mon personnage : Trouver ça place dans ce nouveau monde. Pas forcement la plus haute, mais la plus confortable.

Fiche validée.



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